Processus physiologique naturel, la ménopause survient vers la cinquantaine.
Dans les ovaires, les follicules (petits éléments qui contiennent l’ovule et qui secrètent des hormones à chaque cycle après l’expulsion de l’ovule) involuent et ne jouent plus leur rôle.
Ceci entraîne une baisse puis une disparition des hormones œstrogènes et progestérone qui interviennent dans de nombreux métabolismes. Cette baisse va transformer l’ensemble de l’organisme.
La conséquence directe est l’arrêt des règles donc la perte de la fertilité. Elle est souvent précédée par une période de durée variable, la pré-ménopause pendant laquelle la diminution des hormones entraîne des perturbations.
De nombreux désagréments
Les œstrogènes jouent un rôle dans la thermorégulation (mécanisme par lequel l’organisme maintient sa température constante). Leur diminution est la cause des bouffées de chaleur. Cette sensation désagréable débute généralement au niveau du buste et du visage et se généralise, s’accompagnant de transpiration, palpitations, frissons et anxiété. Elles durent quelques minutes et peuvent survenir plusieurs fois par jour. Les bouffées de chaleur s’étalent sur plusieurs années de façon irrégulière.
La baisse des œstrogènes accélère la déminéralisation des os entraînant de l’ostéoporose. La fragilité des os provoque des tassements vertébraux et la survenue de fractures spontanées, notamment au niveau du poignet.
Le corps se modifie. Les seins se transforment et deviennent essentiellement constitués de graisse.
C’est également une période où une prise de poids survient.
La peau s’amincit et s’assèche, perdant son élasticité.
Les cheveux deviennent cassants, leur densité diminue. En revanche, une pilosité au niveau de la lèvre supérieure et sur les joues peut faire son apparition.
On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires. Ces désagréments touchent environ deux tiers des femmes, à des degrés divers.
L’humeur peut aussi être affectée par l’arrivée de la ménopause. Les hormones sexuelles agissent sur des régions cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions et du comportement.
L’arrêt de la production d’œstrogènes est également un facteur de risque de maladies cardiovasculaires. Ces hormones jouent en effet un rôle au niveau du métabolisme des lipides et de l’insuline, et elles agissent au niveau des parois vasculaires. Faute d’œstrogènes, les artères deviennent plus rigides, ce qui favorise l’athérosclérose, le cholestérol et les graisses augmentent.
La luxopuncture, une alliée précieuse
Durant cette période, la luxopuncture s’avère être une aide précieuse puisqu’elle permet d’atténuer, de manière naturelle, une partie de ces troubles : baisse de la fréquence et de l’intensité des bouffées de chaleur et des sudations, nette amélioration du sommeil, de l’humeur et de la forme générale !
De plus, la luxopuncture ne comporte aucun risque médical ou risque d’effets secondaires indésirables. Il ne peut y avoir une quelconque interaction avec un éventuel traitement en cours. C’est une méthode complémentaire.
N’hésitez-pas à me contacter pour en savoir plus.
Géraldine